jeffrane
amateur d anciennes voitures,de vieilles pierres et de découvertes en tous genres
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je souhaiterais acquérir une poignée de porte en forme de main comment faire
Par Anonyme, le 10.05.2019
on a pas attendu 2008 pour découvrir nos caves !
Par Thilges, le 04.06.2016
pouvez me dire où a été prise la photo de ce si bel arbre ? merci
Par Anonyme, le 27.09.2013
c pas un e durendale
Par delatte, le 12.12.2012
jai atte que tu vienne a tours tonton jeff bisouxxhttp:// titiblondassed u33.centerblog .net
Par gigi, le 14.06.2011
· l'épée de roland,
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Date de création : 03.02.2008
Dernière mise à jour :
20.06.2010
84 articles
La nuit s’approfondi. Approche unecertitude Inconsciente etinformulée. Les jours m’enlisent. Les nuitsm’épuisent. J’èresans but hors le monde et hors la vie. Marchant aux milieux des rues étrangeres Croisant d’irréelles personnes Dont je soupçonne l’inconsistance. Rien n’a desens, Rienn’a de goût. Le monde plane autourde moi Telle une ombre. Je plane autour de ce monde Telle uneombre.
Touche moi du bout des doigts,
Serre moi contre toi,
Embrasse mon corps,
Montre moi que tu me désir encore...
Goûte à ma bouche,
Rejoins moi sous la douche,
Laisse entre tes doigts filés mes cheveux blonds,
Laisse moi formé peu à peu l'exitation...
on était à jules ferry
tu habitais rue roger salengro
je t'ai perdu de vue en 1976 a tours
Sylvie Taillard donne moi de t"es nouvelles
bisous... jeff
Le murmure de ma DS chuchote, l'indiscret,
Sous le ciel scintillant de rêves endormis :
Le murmure de ma DS colporte mon secret
Par la Dame de Nuit espionnés et surpris.
Sous le ciel scintillant de rêves endormis,
Les forêts éveillées murmurent, effarouchées.
Par la Dame de Nuit espionnés et surpris,
Les hommes endormis ont perdu son secret.
Les forêts éveillées murmurent, effarouchées,
Ce que ma DS marmonne et gémit.
Les hommes endormis ont perdu son secret,
Ceux que leurs rêves seuls révèlent à la Nuit.
ce soir s'en est allé sur les route de mes rêves
elle avait un gout prononcé pour
le sexe
en sauce aigre douce
je luis en servis tout chaud
bien moelleux
dans son assiette
elle ne détestait pas non plus
le lapin
à la moutarde
je lui en fis un au thym
déposé sur
un lit de rhubarbe
pour le trou normand ce fut
la fête
ah;si tu m'avais vue maman
tu aurais
certainement fait la tète
ses deux iles flottantes en
dessert
dérivèrent sous mes bacchantes
engluées
dans la crème anglaise
ne sachant comment me remercier
la belle
de ce menu plus que correct
crut bon
de s'offrir à moi en levrette
Me promener à vélo,
Le matin tôt.
Respirer l'air frais
Dès l'aube, me rend gaie.
Moments de liberté,
Parmi les fleurs rosées.
Roulant à toute allure,
Le vent en pleine figure.
J'ai ce sentiment infini
D'être en paix avec la vie
Et surtout avec moi-même,
Oubliant toutes mes peines.
Grâce au chant des oiseaux,
A l'odeur des coquelicots.
Enfin le temps de regarder,
Enfin le temps de respirer,
Enfin le temps de rire,
Enfin le temps de vivre.
Lucarne ********* Petite fenêtre ouverte imprévue * D'où arrive parsemée de mots * De ton clavier ainsi, bienvenue * Ta présence éclairant les maux * M'apportant toi hier l' inconnu * Le bien rendant le coeur chaud * Cette fenêtre par toi est connue * Et reste ouverte au renouveau * Car la réelle cette méconnue * Un jour ouvrira ses volets clos...
Il faut être toujours ivre Tout est là :
c'est l'unique question. Pour ne pas sentir
l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules
et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.
Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois, sur les marches d'un palais,
sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre,
vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue,
demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge,
à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule,
à tout ce qui chante, à tout ce qui parle,
demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront :
« Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps,
enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »
Une illusion, ce que tu n'es pas
Si je vis, ce n'est peut être que pour toi
Mais je sais que jamais tu ne m'aimeras
Car ce que tu cherches sans doute, ce n'est pas moi...